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Pirate Bay s’envoie en l’air !
Dernière parade à l’offensive des pouvoirs publics contre les sites
portant atteinte aux droits des auteurs. Dans l’attente d’un raid des
autorités suédoises contres leurs serveurs, les responsables de Pirate
Bay ont imaginé de placer de mini serveurs sur ordinateurs de type
PC Raspberry Pi, de la taille d’une carte de crédit et d’un coût unitaire
n’excédant pas 25 euros, sur des ... drônes (des engins sans pilote)
évoluant à quelques kilomètres d’altitude. Ces engins seraient capables
de rester en contact et de communiquer sur une distance de 50
kilomètres et bénéficieraient d’un guidage par GPS. Les données elles-
mêmes ne seraient pas hébergées en altitude car ces drônes agiraient en fait comme des Proxy orientant le trafic
vers des serveurs secrets. Idée allumée, farfelue dans un contexte de guerre ouverte entre les adeptes d’un
trafic totalement libre et les pouvoirs publics ? A voir. Ce qui paraît certain, c’est que ces drônes devront orbiter
au-dessus des eaux internationales pour éviter la violation des espaces aériens protégés et des interceptions
d’aéronefs ! On croît rêver...
source: newsletter Aduf.
portant atteinte aux droits des auteurs. Dans l’attente d’un raid des
autorités suédoises contres leurs serveurs, les responsables de Pirate
Bay ont imaginé de placer de mini serveurs sur ordinateurs de type
PC Raspberry Pi, de la taille d’une carte de crédit et d’un coût unitaire
n’excédant pas 25 euros, sur des ... drônes (des engins sans pilote)
évoluant à quelques kilomètres d’altitude. Ces engins seraient capables
de rester en contact et de communiquer sur une distance de 50
kilomètres et bénéficieraient d’un guidage par GPS. Les données elles-
mêmes ne seraient pas hébergées en altitude car ces drônes agiraient en fait comme des Proxy orientant le trafic
vers des serveurs secrets. Idée allumée, farfelue dans un contexte de guerre ouverte entre les adeptes d’un
trafic totalement libre et les pouvoirs publics ? A voir. Ce qui paraît certain, c’est que ces drônes devront orbiter
au-dessus des eaux internationales pour éviter la violation des espaces aériens protégés et des interceptions
d’aéronefs ! On croît rêver...
source: newsletter Aduf.
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